vendredi 7 décembre 2007

Premier devoir du militant : cirer les bonnes pompes

Le premier devoir du militant c'est d'obéir aveuglement au Fuhrer et de critiquer ceux qui sont Fuhrer à la place du Fuhrer.


Je ne peux pas cependant refuser de faire cet article, notamment par reconnaissance envers tout ceux qui ont uvré pour cette Convention, les organisateurs, les participants, les délégations étrangères.

La Convention, cétait 300 personnes ... La Convention, cest le superbe cadre du Palais des Congrès, mais cest aussi le sérieux des jeunes gens des Jeunesses Identitaires qui était frappant, l'ambiance sympathique, la qualité des interventions, l'alternance entre les projections de films et les discours, l'envie de travailler.
Je suis heureux d'avoir découvert des cadres et des militants que je ne connaissais pas : les jeunes femmes à l'accueil qui ont été dun patience admirable pour soccuper des formalités, Jacques Cordonnier d'Alsace d'Abord dont la gentillesse rivalise avec le sens de lorganisation, Pierre Graillard, le nouveau patron des JI qui a commencé son intervention en expliquant quil nétait pas un orateur et qui a fait un discours sans note, carré, clair, bref, un discours de bon... orateur
Heureux également davoir retrouvé Guillaume Luyt, Dominique Lescure, Fabrice, Richard, Philippe qui ont toujours été de bonne humeur pour présenter les uns et les autres, faire respecter les temps de parole tant les orateurs étaient passionnés et passionnant...
Merci à Arnaud Borella qui s'est révélé être, lui aussi, un excellent orateur ... Merci à Mario Borghezio, député européen de la ligue du Nord pour un discours magnifique et tonitruant.
Bravo à Patricia Vayssière... Bravo à Jean-Baptiste Santamaria qui dirige le groupe Sparte.
Merci aux catalans, aux alsaciens, aux portugais, aux serbes, aux flamands....
Merci à tous pour la bonne humeur de ces deux jours.

Hugues DELAGNY


C'est pas du Michel Drucker mais pas loin. Le plus difficile c'est faire la distinction entre le mauvais facho et le bon facho pour cirer les bonnes pompes et cracher sur les autres.
Bravo, bravo, merci, superbe, magnifique, formidable, bravo, merci, on est les plus beaux on est les plus forts.



Nous étions loin, très très loin de l'extrême droite ringarde, des revanchards, des perdants, des aigris. Je crois que pendant les discours et les ateliers, les noms de Le Pen, Marine ou Jean-Marie, Gollnisch, Lang, de Villiers ou Mégret n'ont jamais été prononcés... En fait, nous étions « ailleurs », loin des querelles, des conflits des chapelles des calculs de boutiquiers.


Des boutiquiers FN. Mais pas des boutiquiers identitaires. Vous avez donné au fait ?

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